À propos de l’AQR
Notre mission: Promouvoir le développement du racquetball au Québec en offrant différentes opportunités aux adeptes, tout en encourageant la participation sportive à travers un ensemble de services et de programmes.
Le racquetball, sport considéré facile d’initiation et techniquement accessible à tous, a connu une progression fulgurante durant les années 1980. Réparti sur tout le territoire québécois, le racquetball organisé au Québec existe depuis 1976.
Bien structurées et toujours populaires auprès des Québécois, les activités sanctionnées sont nombreuses et de haute qualité. Au-delà de 10 000 adeptes s’adonnent régulièrement à la pratique du Racquetball dans un réseau de plus de 45 points de jeu au Québec, dont plus de 25 parmi les plus importants, sont membres de l’Association Québécoise de Racquetball.
Maintenant bien implantée dans le réseau des clubs privés au Québec, l’Association Québécoise de Racquetball est fière de ses réalisations et compte à son actif plusieurs des meilleurs éléments au monde parmi ses athlètes, entraîneurs et officiels.
Débuter la pratique du Racquetball
Vous pouvez tout d’abord consulter la liste des Clubs de Racquetball sur notre site afin de trouver le club le plus près de chez vous.
Vous pouvez ensuite contacter le club afin de connaître l’horaire, les coûts, et les services offerts.
Sur place, vous trouverez un professionnel qui saura vous conseiller sur l’équipement nécessaire. Il vous sera aussi possible de recevoir sur place, une initiation au Racquetball.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter la section Trouver un club.
Buts et objectifs
- Régir et développer le racquetball amateur au Québec
- Mettre en place des programmes et des services dynamiques au bénéfice des adeptes
- Mettre en place les mécanismes nécessaires à la réalisation de ses mandats
- Assurer le développement et l’excellence des activités, des personnes-ressources, des techniciens et des athlètes d’élite du Québec
- Travailler de concert avec d’autres organismes ayant des objectifs communs
Structure d’intervention
L’Association Québécoise de Racquetball compte sur les actions de plusieurs dizaines de volontaires pour mener à bien les mandats qui leur sont conférés par nos membres lors des assemblées générales annuelles, tenues en juin de chaque année.
De compétence très variée, nous comptons parmi nos administrateurs, des professionnels de l’éducation physique bien entendu, mais également des administrateurs chevronnés et des professionnels de différentes sphères d’activités. Bref, un éventail complet de compétences oeuvrant avec synergie vers l’atteinte d’objectifs communs.
Un des avantages marqué de notre structure, c’est qu’elle permet de cibler de façon très pointue, un groupe d’adeptes dans une région particulière, tout comme d’atteindre le spectre le plus large de tous les participants inscrits dans le réseau des clubs privés de conditionnement physique du Québec.
L’Association Québécoise de Racquetball compte cinq (5) administrateurs bénévoles qui sont tous élus lors de l’Assemblée Générale Annuelle.
Adresse
Association Québécoise de Racquetball
7665, Boul. Lacordaire
Saint-Léonard, QC H1S 2A7
Courriel: info@sports-4murs.qc.ca
Téléphone: (514) 252-3062
Heures d’ouverture
Les heures normales d’affaires sont de 9h à 17h, du lundi au vendredi.
Employés
Michel Séguin, Directeur général
Marie-Michèle Trudel, Secrétaire
Anne-Frédérique Bayard, Agent de développement et communication
Nadine Lavallée, Coordonnatrice Développement
Conseil d’administration de l’Association Québécoise de Racquetball
Rino Langelier
PRÉSIDENT
rinolang@hotmail.com
- Président
- Formation des entraîneurs
- Rassemblement des résultats de tournois
- Classement des joueurs
- Calendrier des événements
- Développement des juniors
- Comité de mutation
- Coordination programme R2Sport
- Programme des Bourses aux athlètes
- Comité de Haute performance
Administrateurs
Président(e)s précédents
Historique du Racquetball
1 Les premières années
Grâce à l’essor qu’a connu le racquetball à la fin des années soixante-dix, un impressionnant bassin de joueurs s’est créé dans pratiquement toutes les régions du Québec à l’exception de l’Abitibi-Témiscamingue.
Naturellement, par la croissance rapide du nombre de clubs, un gigantesque réseau de compétitions a vu le jour autant au niveau local, régional que provincial. Par conséquent, des athlètes d’excellence ont émergé à tous les niveaux qui composent la clientèle du programme d’excellence de la fédération, soit dans les catégories ouvertes (1er niveau), junior (2e niveau) et juvénile (3e niveau).
C’est de cette façon que le Québec a commencé à se manifester lors des Jeux du Canada de 1979 et les Championnats canadiens des années entourant cette époque. C’est à ce moment, au début des années ’80, que l’Association québécoise de racquetball (AQR) commença à développer un programme de développement et de soutien à l’excellence. Grâce à un réseau de compétitions sanctionnées et identifiées, où l’on regroupait les meilleurs talents québécois, on créa le premier noyau de joueurs (22 ans et moins) de l’Équipe du Québec, d’où seront sélectionnés les futurs médaillés d’or des Jeux du Canada de 1983 et les futures têtes d’affiche du Québec au niveau canadien dans toutes les catégories.
Au même moment, le perfectionnement des entraîneurs et des officiels prenait son envol. Avec la tenue des Jeux du Canada au Québec et la popularité grandissante du sport dans tous les clubs, ces derniers créèrent une demande importante pour la tenue de stages sur les règlements de jeu et la formation d’officiels. Du même coup, à l’exemple du tennis, les clubs tenaient à embaucher des instructeurs qualifiés, communément appelés « professionnels », afin d’enseigner les habiletés du sport auprès de leur clientèle et d’organiser l’ensemble des activités de leur programmation. C’est ainsi que de nombreux stages techniques de formation d’entraîneurs du PNCE eurent lieu dans toutes les régions importantes. Tous ces stages étaient gérés par l’AQR et donnés par des directeurs de cours ayant suivi la formation offerte par l’Association canadienne de racquetball.
Ainsi, à l’aube des années ’80, le Québec pouvait compter sur un très grand nombre de clubs et de terrains, une importante clientèle de niveaux récréatif et compétitif, une émergence naturelle de joueurs talentueux, un solide noyau d’entraîneurs et d’officiels qualifiés, un réseau de compétitions qui s’étend à l’échelle du Québec et finalement, sur un programme de membership universel mis en place conjointement par l’AQR et le regroupement des propriétaires de clubs. Ce dernier génèrera une source de revenus considérable dont une partie servira, dans l’avenir, à compléter le support financier du programme du développement des athlètes d’excellence, des entraîneurs et des officiels.
2 L’Époque des succès
C’est avec la présentation des Jeux du Canada de 1983 à Chicoutimi, que l’AQR mit en place son premier programme du soutien à l’Équipe du Québec. Les saisons 1981-1982 et 1982-1983 virent la tenue de camps d’entraînement et de sélections regroupant les meilleurs joueurs et joueuses du Québec de moins de 22 ans. Ceux-ci étaient invités suite à leur performance lors des compétitions identifiées. À ce moment, le Québec comptait déjà sur trois entraîneurs certifiés de niveau II pour prendre en main le programme de l’équipe.
Grâce au succès (médaille d’or) remporté par le Québec à ces Jeux, l’AQR décida d’accorder une place importante au programme de développement de l’Excellence et de soutenir les activités d’une Équipe du Québec Junior pour les athlètes de 18 ans et moins, soit de 2e et 3e niveaux. On décida également de créer un programme d’aide financière aux athlètes de premier niveau (catégorie « ouvert ») pour leur permettre de participer aux Championnats canadiens (transport, per diem, frais d’inscription).
Parallèlement, le réseau de compétitions sanctionnées fonctionnait efficacement. Le nombre de stages d’officiels ne cessait de croître et les stages de formation d’entraîneurs avaient lieu sur une base régulière, particulièrement ceux de niveau I. Par contre, à cette époque, on commençait déjà à identifier une forte tendance des entraîneurs possédant la formation technique, à ne pas compléter leur formation théorique, et ce, malgré l’excellente promotion faite par l’AQR sur les avantages et la nécessité d’une formation complète.
1983-84
Jusqu’à ce jour, il n’y avait aucun plan de haute performance au niveau canadien. La saison 1983-84 vit la naissance du programme de l’Équipe nationale qui allait participer pour la première fois au Championnat du Monde. La sélection de l’équipe fut basée sur le classement final d’une compétition de sélection qui eut lieu à Québec, deux jours avant le début du Championnat canadien 1984.
Résultats: 1 homme et 2 femmes (équipe de double) du Québec (30%) qui décrochèrent respectivement le titre de Champion du Monde et une médaille d’argent.
Championnats canadiens junior & senior (Québec)
Suite à sa victoire aux Jeux du Canada et fière de la sélection de ses deux entraîneurs sur l’Équipe nationale (double féminin), l’Équipe du Québec junior était toujours sur sa lancée et remporta six médailles sur une possibilité de douze (50%), ainsi que trois des quatre titres individuels (75%) lors du Championnat canadien junior. Ces succès allaient nous donner un avant-goût des performances futures.
Du côté « senior », le Québec remporta neuf médailles, soit quatre d’or et cinq d’argent, sa plus grosse cueillette de l’histoire.
Ces deux événements ont motivé au plus haut point les athlètes, entraîneurs et officiels impliqués dans le programme d’excellence. De plus, on fondait de grands espoirs sur la création récente de nouvelles associations régionales au sein de l’AQR. Celles-ci avaient parmi leurs mandats, la responsabilité de la promotion et de l’organisation de stages de formation et de perfectionnement d’officiels et d’entraîneurs et surtout la mise en place, au sein des clubs privés, d’un programme de développement pour les juniors. L’objectif de ce programme était d’assurer une relève au niveau des compétiteurs et des athlètes d’excellence.
1984-85: Objectif premier: l’Équipe du Québec junior.
À sa deuxième année, le programme offrait aux athlètes de l’Équipe Junior, quatre camps d’entraînement et trois compétitions préparatoires d’envergure. La plus importante fut le Championnat Junior du Nord-est des États-Unis, où l’Équipe remporta six médailles sur une possibilité de quinze, soit deux d’or et quatre d’argent. Des résultats sans précédent qui annonçaient des performances impressionnantes lors de la compétition ultime de la saison, le Championnat canadien junior.
Dans le but de créer un outil permettant d’identifier la relève à long terme de l’Équipe nationale, 1985 verra la tenue, à l’été, du premier Championnat canadien junior (catégories junior (18 ans et moins), juvénile (16 ans et moins), cadet (14 ans et moins) et benjamin (12 ans et moins)) indépendant du Championnat senior. Au même moment, l’entraîneur-chef de l’équipe, Monique Parent, était nommée entraîneur de l’Équipe nationale féminine. Lors de ce Championnat canadien junior (Saskatoon), l’équipe remporta une médaille d’or, trois d’argent, une de bronze (total 5) sur une possibilité de douze dans la compétition individuelle, ainsi que trois médailles d’or et deux d’argent dans la compétition par équipe où le Québec terminait premier au classement cumulatif devant la Saskatchewan. Il y avait 120 participants.
1985-86
Équipe du Québec Junior (2e et 3e niveaux)
Enfin, l’AQR réussissait à mettre sur pied un réseau des stages de développement pour les juniors qui allait servir à identifier les jeunes espoirs québécois. Suite aux camps de sélection du début de saison, on mit sur pied une première équipe « espoir » venant s’ajouter à l’équipe « relève » qui en était à sa troisième saison dans son format actuel. Le contenu de ces camps étaient comme suit:
– mesures des aptitudes physiques
– mesures des habiletés techniques
– évaluation de la performance en situation de jeu.
Au Championnat canadien junior 1986, de nouveau tenu à Québec où il y avait 130 participants, le Québec fut de nouveau couronné « équipe championne ». L’équipe a obtenu 5 des 8 titres individuels en simple, ainsi que deux médailles d’argent et deux de bronze en double, soit 9 des 24 médailles en jeu.
Catégorie « ouvert » (1er niveau)
Sur le plan national (1er niveau « ouvert »), deuxième participation du Canada aux Championnat du Monde. Suite à l’évaluation des joueurs de catégorie ouverte au cours de la saison 1985-1986 et des résultats du Championnat canadien, une nouvelle équipe nationale fut sélectionnée et sera évaluée sur une base annuelle. Pour l’édition 1986, c’est à nouveau un homme et deux femmes (30%) du Québec qui furent sélectionnés et qui décrochèrent respectivement une médaille de bronze, une 4e position et le titre de Championne du Monde en double féminin. Pour la première et unique fois de son histoire, le Canada termina en première place dans la compétition par équipe, ex-aequo avec les États-Unis, grâce à la première place du contingent masculin.
1986-87
Catégorie « ouvert » (1er niveau)
Heather Stupp est devenue la première championne canadienne du Québec. Elle dominera la scène nationale sans jamais perdre son titre. La même année, celle-ci remporta le titre féminin du tournoi des Amériques, au Venezuela.
Équipe du Québec Junior (2e et 3e niveaux)
Voici les résultats du Championnat Canadien junior tenu à Hull, où le Québec remporta l’une des plus éclatante victoire de sa jeune histoire:
Simple (8 catégories)
– 4 premières positions: – garçons: 18, 16 et 12 ans
– filles: 18 ans
Double (4 catégories)
– 1 première position: – garçons: 18 ans
– 1 deuxième position: – garçons: 14 ans
– 1 troisième position: – filles: 18 ans
Résultat par équipe: 1re position pour le Québec
Ressources
Jouer au racquetball
Politiques de l’Association Québécoise de Racquetball
Sport Sans Abus
Sport Sans Abus est un programme indépendant qui s’inscrit dans une mouvance dynamique visant à éliminer toute forme de harcèlement, de discrimination et d’abus dans le sport au Canada. À titre de signataire du programme, AthlètesCAN participe activement à ce mouvement.
Auparavant, le traitement des plaintes pour maltraitance relevait directement de l’organisme national de sport concerné. Le programme Sport Sans Abus centralise le tout au sein d’un guichet unique indépendant. Dirigé par des experts de leurs domaines, il utilise l’éducation et la recherche pour prévenir la maltraitance à tous les niveaux du sport.
SportBienetre.ca
SportBienetre.ca : Promouvoir un environnement sportif sain et sécuritaire pour les jeunes athlètes. Grâce à la diffusion de l’information et à des mesures de sensibilisation, nous aidons les membres de la communauté sportive (athlètes, parents, entraîneurs, administrateurs et autres intervenants) à comprendre, à gérer et surtout à éliminer la violence en milieu sportif sous toutes ses formes.
Sport’aide
Sport’aide est un organisme sans but lucratif indépendant qui vise à offrir des services d’accompagnement, d’écoute et d’orientation aux jeunes sportifs, mais également aux divers acteurs du monde sportif québécois (parents, entraîneurs, organisations sportives, officiels et bénévoles) témoins de violence à l’égard des jeunes.